En premier lieu, le débat « Justice Climatique: réponses institutionnelles et expériences significatives en Amérique Latine » cherchera une approche, au niveau mondial, du droit à la ville, à travers le document thématique « Droit à la ville : feuille de route vers la justice climatique » , pour le revendiquer comme l’un des cadres pouvant servir de référence pour orienter une action climatique équitable et créer des programmes pour atténuer le changement climatique, s’adapter à ses impacts et promouvoir une reprise qui construit des sociétés plus justes et plus durables qui garantissent véritablement les droits de tous.
Deuxièmement, la discussion se concentrera sur des expériences spécifiques en Amérique Latine (dans ce cas, le Pérou et la Colombie), dans lesquelles il est démontré qu’à l’échelle locale et mondiale, le changement climatique nuit particulièrement aux secteurs les plus marginalisés de la population. une situation de vulnérabilité due à l’injustice et aux inégalités inhérentes au modèle économique et social actuel. La réponse de certaines communautés à la gestion des risques de catastrophe n’attend pas et montre, en plus, leur autonomisation, l’activation de leurs connaissances propres et appropriées basées sur le dialogue et l’action sur le territoire avec des paris de développement académique et social dans une perspective transformatrice.
Le débat sur la Justice Climatique: réponses institutionnelles et expériences significatives en Amérique Latine est une initiative collective de Corporación Región, de la Coalition internationale pour l’habitat en Amérique latine et de la Plate-forme mondiale pour le droit à la ville, dans le cadre de leur travail commun pour la promotion de Justice climatique et droit à la ville.
🗓️ Horaire ce mercredi 13 octobre à 10h00. pour que nous parlions de justice climatique
Nous discuterons avec:
- Álvaro Puertas, ancien secrétaire général de la Coalition internationale pour l’habitat.
- Eliana Martínez, membre du Comité scientifique pour le changement climatique à Antioquia.
- Hendys Paola Guzmán, du projet collectif Tejearaña.
- Ramiro García, du Centre d’études et de promotion du développement du Pérou, et
- Luz Amparo Sánchez, de Corporación Región
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